Le gouvernement se mobilise en faveur d’une plus grande vaccination avec le site inpes.sante.fr
La vaccination n’a pas toujours une très bonne réputation en France et dans d’autres pays. Le gouvernement souhaite changer la donne en informant les internautes à travers un nouveau site à l’occasion de la semaine dédiée aux vaccins.
Selon le site de l’Inpes, la vaccination est le moyen de prévention le plus efficace aujourd’hui pour lutter contre certaines maladies infectieuses, telles que le tétanos, la rougeole, la coqueluche ou encore la méningite. Cela permet de se protéger soi-même mais aussi de protéger l’autre, notamment les personnes à risques (nouveau-nés, femmes enceintes, personnes qui souffrent d’une affection chronique et les personnes âgées). Il est avant tout primordial de comprendre la vaccination.
Sans les vaccins, les maladies continuent de se propager
Malheureusement, le choix de certains parents est susceptible d’avoir une répercussion sur d’autres patients. Ce fut le cas dès 2008 et jusqu’en 2014. Pendant ce laps de temps, le nombre de cas de rougeole n’a cessé de croître. 10 décès ont été référencés ainsi que 34 complications. Cette situation a été la conséquence du refus de la vaccination. Cette décision met en péril la vie des enfants, mais elle nuit également à tous les autres français, car, sans ces vaccins, les maladies continuent de se propager.
Les instituts spécialisés dans ce domaine comme l’INPES et l’InVS estiment que les complications auraient parfaitement pu être évitées si la vaccination avait été au rendez-vous. C’est donc en prenant des exemples comme celui-ci que le gouvernement espère changer les mentalités. Pour cela, il informe le plus possible tout en rassurant les parents. Des politiciens demandent tout de même un véritable débat autour de cette question du lobby pharmaceutique et des produits destinés à la santé.
Faire la promotion de ce site baptisé « Vaccination Info Service »
Il n’est pas rare d’apprendre que des parents refusent de faire vacciner les enfants à cause des risques éventuellement encourus. Certaines molécules ont été pointées du doigt, mais le gouvernement veut être rassurant. En acceptant les vaccins, cela permet de se protéger et de prémunir autrui de la propagation des maladies. Par conséquent, une plateforme a vu le jour grâce à la volonté de l’INPES qui s’investit à l’occasion de la semaine dédiée à la vaccination. Elle se déroule jusqu’au 30 avril, c’est un bon moyen pour faire la promotion de ce site baptisé « Vaccination Info Service ».
l’INPES met en avant le calendrier 2016
La navigation a l’avantage d’être fluide, vous trouverez facilement des informations notamment avec plusieurs grandes catégories. Ce site souhaite répondre à toutes vos questions tout en partageant quelques conseils pratiques et des données primordiales à propos des maladies ainsi que des vaccins. Vous pouvez par exemple apprendre le délai recommandé pour la conservation des doses ou encore les lieux pour effectuer les vaccinations. En parallèle, l’INPES met en avant le calendrier 2016 qui existe en format carte postale. Vous ne pourrez plus manquer un seul rappel, cela s’avère être intéressant pour les adultes qui doivent parfois attendre 5 voire 10 ans avant une nouvelle injection.
Au cours de cette semaine, le gouvernement français représenté par Marisol Touraine souhaite accentuer les débats en France sur les avantages apportés par les vaccins. Plusieurs structures ont décidé de collaborer à savoir l’Assurance maladie, les établissements de santé ou encore les centres de vaccination…
Une source d’informations complète
Auparavant, la ministre de la Santé a souhaité insister sur le fait que la vaccination restait l’un des plus grands progrès dans le domaine médical. Toutefois, depuis quelques années, certains citoyens n’accordent plus la même confiance à cause des effets secondaires parfois listés. Marisol Touraine est consciente qu’elle doit rassurer les Français, cette semaine européenne est donc parfaite pour communiquer sur les bénéfices. L’objectif consiste aussi à informer le plus possible pour tenter de supprimer les incompréhensions et les doutes. Avec cette plateforme dédiée, les internautes obtiennent une source d’informations complète, car elle répond à plusieurs questions : pourquoi se faire vacciner ? Qui doit se faire vacciner ?
Plus d’information sur inpes.sante.fr
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Le calendrier 2016 des vaccinations change avec l’intégration du zona
Les vaccinations subissent quelques modifications pour 2016 selon les volontés du ministère de la Santé. Ces déclarations sont finalement des recommandations que les Français peuvent suivre ou non pour cette nouvelle année.
Pour ce nouveau calendrier vaccinal, il y a deux nouveautés
La première concerne la fièvre jaune. Jusqu’à présent, il fallait faire un rappel de ce vaccin tous les dix ans. Mais en août 2015, l’Organisation mondiale de la santé a émis un avis selon lequel une seule dose de vaccin suffisait pour conférer une immunité durable et une protection à vie contre la maladie. La France s’aligne donc sur cette réglementation internationale : aucune dose de rappel n’est nécessaire et elle ne le préconise plus.
Une concertation citoyenne pour le vaccin lancée par Marisol Touraine
Même si l’utilité des vaccins a été plus qu’avérée, les Français restent toujours méfiantes et sceptiques sur le sujet. Face à ce problème, Marisol Touraine, la Ministre de la Santé a décidé de lancer une concertation citoyenne ce mardi afin de mieux comprendre l’utilité et l’importance de ces injections pour la santé et pour éviter les épidémies. Cette concertation a pour but de pouvoir formuler pour la fin de l’année 2016 de nouvelles propositions.
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La France est vraiment mauvaise élève en matière de vaccination, malgré les prouesses de Pasteur. D’année en année, les personnes vaccinées sont de moins en moins nombreuses car les Français deviennent très méfiants face aux vaccins. La couverture vaccinale est en France la plus faible pour certaines maladies comme la Rougeole ou encore les Hépatites. Or, une recrudescence de ces maladies ont été notées au cours des dernières années comme L’Institut de veille sanitaire (INVS) le confirme et n’hésite pas à sonner l’alerte.
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