Le directeur accusé de d’avoir braqé de sa propre banque risque 6 ans de prison
Découvrez l'incroyable histoire du directeur de banque qui risque six ans de prison pour avoir audacieusement braqué sa propre agence !
Tl;dr
- Requis six ans de prison pour le directeur d’une banque pour braquage.
- Le directeur a admis avoir orchestré le braquage en 2019.
- Peines plus lourdes pour les « têtes pensantes » du braquage.
Le directeur de banque et complices devant la justice
En 2019, un braquage a eu lieu dans une agence bancaire près des Champs-Elysées. Fait étonnant, le directeur de la banque, Kamal J., a été identifié comme l’un des principaux acteurs de cet acte criminel. La procureure Lesly Galdin a requis jeudi six ans de prison à son encontre et une amende de 50 000 euros avec une interdiction d’exercer une profession commerciale ou industrielle pendant dix ans.
Un déroulé idéal pour un braquage
Le directeur n’a pas déclenché l’alarme le jour du vol, ce qui a suscité des interrogations. « Le vol n’est possible que par la participation pleine et entière » du directeur, a souligné la procureure. Kamal J. a admis avoir orchestré le vol, mais prétendait y avoir été contraint par les autres prévenus.
Les têtes pensantes du braquage
Le duo formé par Alexandre A., surnommé « Musclor », et Hicham E., est considéré comme les « têtes pensantes » du braquage. Les peines les plus lourdes ont été requises contre eux, avec 15 ans de prison et une amende de 100 000 euros pour Alexandre A., et neuf ans de prison et une amende de 100 000 euros pour Hicham E., qui est en fuite.
Où est le butin ?
Une question reste en suspens : où est passé le butin ? De nombreux coffres ont été vidés, et la plupart des effets dérobés n’ont pas été retrouvés. Le préjudice est qualifié d’« inestimable » par la procureure.
L’avis de la rédaction
Il est troublant de constater qu’un directeur de banque, un individu en qui nous sommes censés avoir confiance, ait pu être impliqué dans un tel crime. Cela soulève des questions sur la véracité de ses affirmations selon lesquelles il a été contraint d’agir ainsi. En fin de compte, ce cas nous rappelle que la criminalité peut se cacher derrière les visages les plus inattendus.