Le préservatif bio conçu à base d’herbe est à la fois fin et robuste
C’est une petite révolution dans le monde du préservatif puisqu’un modèle totalement bio a été mis au point. L’épaisseur et la robustesse seraient les deux points forts à ne pas négliger pour ce développement insolite.
Le dernier préservatif offre des sensations décuplées
Les chercheurs ont eu recours au spinifex pour mettre au point ce nouveau préservatif qui ne serait pas le seul à bénéficier de cet ingrédient. En effet, les scientifiques conquis par les compétences de celui-ci auraient l’intention de développer des gants chirurgicaux. Ils auraient la capacité d’être robustes tout en optimisant à la fois la dextérité et le toucher. Cette mise au point n’a pas encore été faite, mais celle sur le préservatif connait déjà un vif succès. Ce sont les chercheurs en Australie de l’université du Queens qui sont à l’origine de ce développement révolutionnaire.
Une capote bio qui bénéficie des avantages de la nanocellulose du spinifex
Le préservatif est toujours conçu à base de latex, mais cet ingrédient est associé au spinifex. Il s’agit d’une plante que l’on trouve essentiellement en Australie et le duo permet accroître la finesse et la robustesse. A titre de comparaison, les scientifiques ont précisé que cet ingrédient était finalement similaire à de l’herbe. Généralement, les hommes font souvent l’impasse sur cette protection en révélant qu’elle entache les sensations. Avec ce nouveau préservatif, ils ne pourront plus opter pour cette excuse, car il a l’épaisseur d’un cheveu. Par rapport aux 70/90 microns d’un préservatif normal, celui développé en Australie offre une épaisseur de 45 microns.
Les risques d’une rupture sont quasiment inexistants
Les sensations devraient être au rendez-vous pour les deux partenaires, mais la commercialisation n’est pas encore au rendez-vous. Elle sera peut-être prochainement effective, car d’autres avantages sont en faveur de cette capote nouvelle génération. Mis à part son épaisseur et sa résistance, elle offre un risque de rupture qui frôle le zéro. Cela limiterait ainsi au maximum les accidents tout en proposant une protection 100% efficace, ce qui n’est pas à négliger notamment à cause de toutes les MST et les IST qui circulent dans le monde ainsi que la recrudescence de nombreuses maladies comme la syphilis.