Une dent de cachalot de 30 centimètres et vieille de 5 millions d’années retrouvée en Australie
Une plage australienne a dévoilé un trésor insolite à savoir une dent de cachalot. Cette dernière possède une réelle particularité puisqu’elle est vieille de 5 millions d’années. Cette découverte a été faite au début de l’année.
L’Australie abritait ce cachalot pendant l’ère du Pliocène
Cette fameuse dent portera le nom de celui qui l’a découvert, à savoir un passionné. Elle a été conduite au muséum Victoria qui a pris cette décision, elle sera donc nommée en l’honneur de Murray Orr, un homme qui se promenait au bon moment sur cette plage australienne. C’est un petit exploit qui a été réalisé par ce pays, car aucun spécimen de ce genre n’avait été retrouvé en dehors du continent américain. Cette dent montre ainsi que l’Australie abritait par le passé ces animaux pendant l’ère du Pliocène. Quelques analyses ont été effectuées, les résultats ont montré que cette quenotte était vieille de 5 millions d’années.
An ancient tooth, belonging to a giant killer sperm whale is found on Beaumaris beachhttps://t.co/zTvUJ9K9Ln pic.twitter.com/Sbqk2sITsM
— ABC News Melbourne (@abcnewsMelb) April 21, 2016
En pensant ramasser une canette, il découvre cette dent de 30 centimètres de long
Il fallait se trouver à Beaumaris Bay en février dernier pour assister à cette découverte hors du commun. La dent de cachalot est tellement impressionnante que cet homme a été contraint de la porter à deux mains. Nous sommes donc très loin des tailles observées généralement sur des animaux ou celles des humains. Murray Orr aurait toutefois pu passer à côté de ce spécimen sans accorder une attention plus précise. Lorsqu’il a constaté la présence d’un objet dans le sable, il a pensé dans un premier temps qu’il s’agissait d’une vieille canette de soda. Finalement, en se penchant et en prenant à la main ce mystérieux objet, il s’est rendu compte de sa découverte.
Ce cachalot devait mesurer près de 18 mètres de long
Au lieu de la garder à son domicile ou de la revendre sur des sites d’enchères, le passionné a décidé d’en faire don au muséum Victoria. Ce dernier touché par ce geste a décidé comme nous l’avons indiqué de lui attribuer son nom. En ce qui concerne les caractéristiques, elles permettent de se rendre compte de la grandeur du cachalot, car la dent mesure 30 centimètres. Les premières investigations annoncent qu’elle appartiendrait au Livyatan Melvillei. Cette espèce avait tendance à vivre au Pérou et elle avait la particularité de mesurer près de 18 mètres de long. Par conséquent, cette taille avait un impact direct sur le poids, il devait s’articuler autour d’une quarantaine de tonnes.
Pour certains internautes, ces dimensions sont impressionnantes, mais, finalement, elles sont assez proches de celles découvertes pour un cachalot d’aujourd’hui.
Découverte d’un nouveau dinosaure en Alaska
Les enfants vont été ravis. Eux qui nous assomment d’habitude avec tant d’enthousiasme de noms de dinosaures imprononçables ont de quoi être impressionnés cette fois ci. La découverte de la semaine va les ravir.
Le Ugrunaaluk kuukpikensi est le dinosaure qui fait parler de lui. Il vient en effet d’être mis a jour par une équipe de chercher de Floride et de l’Alaska. Et l’on nous donne déjà beaucoup d’informations à son sujet. Sa forme tout d’abord avec une tête en bec de canard. C’est ensuite sa taille qui laisse pantois avec rien de moins que 9 mètres de longueur , un poids de plusieurs tonnes et surtout la capacité de se tenir sur ses deux jambes arrières afin de brouter les hauts conifères de la région.
C’est surtout l’endroit où le squelette de 69 millions d’années a été découvert qui est très significatif. En effet, les quelques 6000 ossements, de plusieurs squelettes les uns à côté des autres, ont été retrouvé en Alaska. Or, on a toujours cru que les dinosaures ne pouvaient pas vivre dans les zones froides. Et l’Alaska il y a 69 millions d’année, c’était avant tout une zone froide même si moins dure qu’aujourd’hui. On estime les températures hivernales moyenne à 6°. Contre toute attente, cet ensemble de squelette nous révèle que les dinosaures pouvaient donc survivre à des températures bien plus froides. Lire la suite