Assurance auto 2024 : Tesla, Dacia, Fiat parmi les marques les plus économiques
Assurance autoCanva
Découvrez comment Tesla, Dacia, Fiat et autres marques étonnantes pourraient vous faire économiser sur votre assurance auto en 2024!
Tl;dr
- Prime d’assurance auto moyenne en 2024 : 651 euros.
- Baisse du coût d’assurance pour Tesla, Fiat et Dacia.
- Dacia reste la marque la moins chère à assurer.
- BMW est la marque la plus coûteuse à assurer en 2024.
Un paysage changeant pour l’assurance automobile
Selon le dernier baromètre d’Assurland, le comparateur d’assurances, la prime annuelle moyenne d’assurance automobile atteindra 651 euros en 2024. C’est une augmentation de 21 euros par rapport à 2023.
Des marques se démarquent
Cependant, contre toute attente, certaines marques voient leur coût d’assurance diminuer. C’est notamment le cas pour « Tesla, qui faisait partie des modèles chers à assurer, connait une baisse de tarifs depuis quelques années », explique le communiqué d’Assurland. L’assurance pour une Tesla s’élevait à 915 euros en moyenne il y a un an. En 2024, elle baissera à 858 euros. Les tarifs ont donc diminué de 6% grâce à l’arrivée de modèles plus accessibles.
Des tendances contraires
Parallèlement, deux autres marques voient aussi leur prime d’assurance se réduire. Dacia, déjà l’un des constructeurs les moins chers à assurer, passe de 416 euros en 2023 à 410 euros en 2024. Fiat suit la tendance avec une prime qui passe de 538 à 531 euros.
Le classement des primes d’assurance 2024
Dans ce panorama 2024, BMW se place en tête avec une prime d’assurance de 1 003 euros, suivie de Tesla (858 euros) et Audi (842 euros). Mercedes (780 euros), Volkswagen (742 euros), Seat (717 euros), Peugeot (654 euros) et Renault (629 euros) complètent le classement.
L’avis de la rédaction
Si l’on observe une hausse générale des primes d’assurance auto, l’évolution des frais d’assurance pour des marques comme Tesla, Dacia et Fiat nous montre que cette tendance n’est pas inéluctable. L’accessibilité accrue de certains modèles et la concurrence entre assureurs pourraient bien renverser la vapeur. Un vent d’optimisme souffle donc sur le marché de l’assurance automobile.